( 5i )* Souvent on pratique la saignée avec une flamme semblable à celle des maréchaux : on adapte à la surface de la peau la base d’un cône formé par une corne de j/mne taureau, percée également au sommet, l^n opérant un mouvement de suc-(ÿon on produit l’effet des ventouses, et on scarifie plus aisément les parties. Le lait et le miel sont employés dans les maladies de poitrine^ Le tabac et le café sont regardés comme des apéritifs qui facilitent la digestion. J’ai vu un grand nombre de hernies de toutes les formes, et d’un vbiume considérable, sans qu’on ait jamais songé à les contenir ou à les soutenir. • ’ Jadministrai à Syouth, à un jeune homme, un vomitif indiqué. Pendant son action l’alarme s’empara d« tous les siens : on le croyoit...