qu’après que la convalescence fut très avancée. Il ne falloit pas encore perdre de vue le malade, à cause du danger des rechutes ; ainsi il falloit encore éviter les variations de température, les excès dans le régime, et les passions violentes de l’ame : on devoit aussi avoir attention de ne faine reprendre aux'eonvalescents leur service que lorsqu’ils étoient parfaitement en état de le supporter. Le traitement le mieux, entendû n’étoit pas tou-, jours^suivi de succès. La dyssenterie résistoit quelquefois à tous les remedeç, soit que le malade fût entré trop tard à l’hôpital, ou pour toute autre cayse. Les symptômes qui se montroieqt alors étoient une fievre lente, des douleurs au bas ventre plus vives la nuit que le jour, des selles tantô...