( 3i ) qu’ils produisent. Le lendemain, je purgeois le malade, et je mesurois les effets de cette médecine sur le soulagement qu’elle procuroit. Rarement mes espérances étoient trompées : non seulement tous les symptômes de gastricité dispa-roigsoient, mais encore les douleurs du bas-ventre diminuoient notablement. Après un jour de repos , pendant lequel le malade étoit à l’usage d’une tisane délaypnte , je prescrivois un mino-ratif, composé avec la x'hubarbe et le taltrite acidulé de potasse, ou bien avec le sulfate de magnésie , qui, répété deux* ou trois fois , terminoit la maladie : pour l’accélérer encore, je faisois prendre ^quelque léger tonique ; celui qui m’a le mieux réussi est l’ipécaeuanha administré seul comme altérant, ou comb...