♦ ( 2/i9 ) que épidémie la maladie ne frappe pas toujours au meme degré. Elle est bénigne quand il n’y a ni adynamie ni ataxie. Quand il y a 1,’un des deux, ou l’un et l’autre avjec peu d’intensité, il y a espoir de guérison, et c’est l’espece que je considéré comme moyenne. Quand l’adynamie et l’ataxie sont portées très loin il n’y a presque aucun espoir de guérison. J’ai indiqué les moyens que j’ai tentés en àyrie ; on peut voir ce que j’ai dit sur les vomitifs 3 les toniques, et les antiseptiques, ainsi que sur l’application particulière et prompte des vésicatoires. *1 ^ Malgré la gravité de ce que j’appelle la troisième ’ espece, on a vu des guérisons, meme entièrement dues à la nature, et je ne puis en passer sous si-' lence deux exemp...