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(216 ) place étoit sur le point de l’armée où une épidémie exerçoit ses plus grands ravages; vous connoissez mon dévouement. Salut et respect. » O ( Le 15, au soir, la suppression dii lazaret de Boulait et son évacuation sur la ferme d’Ibrahim-bey furent ordonnées pour le lendemain. Je fn5> obligé à diverses reprises d'écrire aux autorité;* militaires et administratives relativement à l’insouciance des éconortÆs, à la mauvaise tenue et aux besoins essentiels des hôpitaux et des lazarets. Le 3o, j’écrivis au général en chef la lettre suivante (n° 683 de ma correspondance). « « Général, L’état des choses est avantageusement changé relativement à la salubrité du Kaire depNiis que j’ai eu l'honneur de vous écrire en date du 15, sous le n° 668. ‘ L’épidémie, sans avoir cessé, frappe moins rapidement ceux qui en sont atteints; les entrants dans nos établissements sont de 21 à 24; les morts de 12 à i5 par jour. Le lazaret de l’isle de Boulak ne subsiste plus depuis environ i5 jours ; il est remplacé par deu