( 160 ) peut aller plus loin et dire qu’ils les ont contractées plus facilement. Ceux qui sont attaqués de maladies vénériennes sont également par leur état de foiblesse générale ou partielle, dans des circonstances très défavorables, et qui les exposent à l’action destructive des maladies les plus graves. Il y a dans ce moment quelques fievres éphémères ou de très peu de duree, qui ne doivent point alarmer ceux qui en sont attaqués ; une légère purgdtion ou deux suffisent pour rétablir la santé : le plus souvent elles sont catarrhales, et tiennent à rne suppression de transpiration. Nous avons suffisamment expliqué ( tome Ier de la Décade égyptienne, pages 67 et 68) les raisons qui nous engagent à recommander les purgations légères. Nous n...