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( i5» ) les villes où il existe des hôpitaux, en faire la vi? site avec la plus grande exactitude et la plus grande sévérité. Les commandants de provinces rendront un compte direct de cet objet si essentiel au général en chef en lui envoyant le rapport des hôpitaux toutes les décades. » Malgré ce que l’on vient de lire, je fus obligé d’adresser le 14P à l’ordonnateur chargé de la police supérieure des hôpitaux des plaintes sur la mauvaise,tenue et le désordre qui régnoient dans ceux du Kaire (n° 483 de ma correspondance. ) J’appris officiellement, ,\e même jour la mort du citoyen Cérésole, médecin de l’armée employé à Alexandrie:1 il avoit contracté dans sa maison, et d’un domestique, une fievre pestilentielle; son épouse lui rendit les soins les plus affectueux sans en être atteinte. Ce jeune médecin aiyoit un jour réalisé les grandes espérances qu’il donnoit, s’il eût pu concentrer son esprit, qui embrassoit trop d’objets dans l’étude déjà si étendue de la médecine. % ' J’adressai, le 19, au comité administratif, et sur sa demande du même jour, l’état désignatif; i° Des substances médicamenteuses, simples ou composées, dont l’introduction en Egypte pouvoit mériter une prime d’encouragement; ‘20 De celles qui méritent une exemption de droits d’entrée; 3° De celles qui doivent payer des droits com-411e provenant de France