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( 102 ) elle séjourna le 14 : la marche fut de plus de quinze heures, toujours dans le sable, et très pénible; car indépendamment de ses armes et de son sac, chaque militaire portait son bidon plein d’eau et sa provision de vibres pour quatre jours. Arrivés à ël-A’rich nous eûmes quelques hommes que la fa ligue força de s’arrêter; il s’établit à l’extérieur et à l’abri des murs du fort environ cent malades ou convalescents, en comptant quelques officiers qui s’isoleront sous des baraques fort com modes, construites avec, des branches de palmier. L’armée se porta le i5 d’êl-A’rich en face d'Os-tracine en dix-sept heures de marche ; elle trouva de l’eau une fois. «i D’Ostracine àÇathiéh, le 16, on trouva le puits ; dit bir-êl-Ab, et la marche fut de quinze heures, o La chaleur fut portée dans le sable jusqu’au quarante - quatrième degré au thermomètre de lléaumur. L’armée séjourna à Cathiéh le 17 et le 18. J’eus rhonneisr de remettre au général en chef je rapport suivant (n° 237 de ma correspondance). Au camp de Ca,thiélij le 17 prairial an YIIt _ • « G ÉXÉR AL , ( Il y a ici aujourd’hui environ cent fiévreux réu