( 56) effraient beaucoup trop , demandent que l'on rétablisse la transpiration arrêtée ; on le fait par les ablutions ou lavages tiedes indiques ci-dessus, par l’administration d’un vomitif, sur-tout quand il y a, comme presque toujours, disposition à vomir, et en soutenant tout de suite la moiteur et les forces par une boisson, composée d’une décoction de café et de quinquina, aromatisée avec le citron. Il faut mettre syr les bubons des cataplasmes émollients : il ne faut pas tenter de les résoudre, c’est la crise de la maladie. Quand ces tumeurs sont à maturité on doit les ouvrir avec le bistouri. Pour les charbons, il faut les brûler en les circonscrivant avec la pierre infernale ou avec un fer chaud. » Le 3 germinal, j’adressai au chef ...