( 4i ) trois antres fois; le chemin etoit très humide et très fangeux aux environs des mares d’eau, qui avoient trois pieds et demi de plus grande profondeur. Il # y a un bon chemin depuis la derniere rencontre de l’eau jusquas aux palmiers {le Bir-êl-Duedar, *où on trouve deux citernes; on marche ensuite sur des sables mobiles jusqu’à Cathiéh, lieu remarquable , au milieu des déserts, par un beau bois de dattiers, des puits, et une bonne citerne, dans un enceinte retranchée par nos troupes, et couverte de palissades. • . Arrivé à Cathiéh le 26, je ne suivis point, d’après un ord^e, le quartier-général, qui étoit le 27 au soir aux puits dits Bir-êl-Ab. De Cathiéh à cette station il y a huit heures de marche. On trouve des sables mouvants et...