\ Ati \t (t8oi ). 385 Pacha , en envoyant dire au général Belliard qu’il avoit du songer a ses intérêts dans cette démarche indispensable, et que , pour réconcilier le Grand-* \isir avec les Mamelouks , dont la conduite avoit été si prononcée en faveur des Français , il con-venoit d’abandonner ostensiblement leur parti. Il le prioit d’excuser une résolution dictée par la force des circonstances ; mais il promettoit de ne commettre aucune hostilité contre les troupes de la République. Il tint loyalement parole. Les Anglais virent arriver avec joie , parmi eux , cette brillante et redoutable cavalerie, qui excita leur juste admiration. Revenons au général Belliard. Quel espoir pou-Voit-il donc lui rester ? Il n’y en avoit qu’un , encore n’off...