(.295 ) tt de Bahhyréh. La vallée du Fleuve-sans-eau est en * combree ; mais il s en Faut beaucoup que les sables s'élèvent à la hauteur des bords du bassin : alors même ils seroient obligés de combler la vallée des lacs de na~ tron avant d arriver sur le plateau, d où ils seroient portés dans la vallée du Nil. L'action des vents sur les sables qui se trouvent dans cette dernière vallée est, sans contredit, la plus funeste. Ces sables sont remués, déplacés, et, de proche en proche, ils arriveront jusqu’au fleuve, comme on le voit déjà dans les endroits où le bassin de l’Egypte est resserré. Les vents n’ont pas fait tous les frais du rapproche-mens des sables vers le Nil ; les eaux du fleuve , par leur tendance à se porter sur la rive gauche...