( 253 ; un tiers par les dépôts ( 1 ) ; et comme, dans les grand- s inondations, les eaux du Fô viennent à la hauteur du lac supérieur, et que la différence de niveau des deux lacs est de deux mètres, on voit que , depuis que le Pô er le Min-cio ont été renfermés entre des digues» le Pô s’élève à une hauteur de quarante-trois décimètres à laquelle il ne par-venoit pas auparavant. Il s’ensuit de là que , puisque les plaines basses qui avoisinent le coûts de ce fleuve n’ont point participé à ses alluvions, et n’ont pas reçu des alluvions étrangères, le lit du Pô leur est resté supérieur ; et ces campagnes desséchées par écoulement sont menacées à chaque instant, pendant les crues du fleuve , d’une submersion totale par les ruptures des digues...