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difficultés. Les chameaux s’v traînent lentement et péniblement : on est contraint, l’espace d environ trojs lieues , cb riphr *es attelages de l'artillerie. L’armée couche le 11 à EsdoJoud , et le i 2 à Ramléh , vill.tge habité en grande partie par des Chrétiens \ elle y trouve dts magasins dé biscuit que 1 ennemi n avoir pas eu le temps d’evacuer : on ( n trouve également au village de Lidda. Des hordes d’Arabes rodoienr autour de ces villages pour les piller 3 des partis Ls repoussent et les mettent en déroute. Le 13 ventôse , l’avant - garde formée par la division Kitber arrive devant Jaffa. A son approche, l’ennemi se retire dans 1 intérieur de la place ec i,uni-nne ies éclaireurs. Les autres divisions et la cavalerie arrivent quelques heures après. La cavalerie et la division Kieber ont ordre de couvrir le siège de Jaffa , en prenant position sur la rivière de Lahoya, à deux lieues environ sur la route d’Acre. Les divisions Bon et Lasnes forment l’investissement de la ville. Le 14.» on fait la reconnoissance de la place. Jaffa est entouré d’une muraille sans fossés, flanquée de bonnes tours avec du canon. Deux forts défendent le port et la rade * la place paroissoir bien armée. On décide le front de l’attaque au sud de la ville contre les parties les plus élevées et h s plus fortes. Dans la nuit du 14 au if , la tranchée est ouverte. On établit une batterie de brèche et deux contre - batteries sut la tour quarrée, la plus dominante du front d’atraque. On construit une batterie au nord de la place, afin d’établir une diversion. Les journées du 1 y et du i5 sonr employées à avancer et perfectionner les travaux. L’ennemi fait deux sorties i il est repoussé vigoureusement et avec perte dans la place: les batteries commencent enfin leur feu. Le 16, à la pointe du jour, on commence à canonner la place. La brèche est jugée praticable à quatre heures du soir j 1 assaut est ordonné. Les carabiniers de la vingt