La charité est seule digne de l'action. Maurice Blondel lecteur de Bernard de Clairvaux

L'A. commence par l'exposition des affinités qui existent entre Bernard de Clairvaux et Maurice Blondel, tous deux bourguignons. Puis il développe la philosophie de Blondel, notamment dans L'Action, et en fait une comparaison avec Bernard : l'action humaine est, chez Bernard comme chez Blondel, un moyen à disposition de l'homme pour sortir de soi et pour éprouver le consentement, l'action et le consentement étant les deux voies vers la charité. Dans L'Action, l'influence de Bernard sur Blondel est assez bien attestée