S’inscrivant dans le sillage des interactions nouvelles suscitées par l’époque contemporaine entre le réel et la représentation, l’article se charge de montrer que la pensée cinématographique informant et transformant le roman de Marie Darrieussecq est le fruit de l’hypotypose, une technique chargée de mettre en évidence le travail de mise en scène du réalisateur et celui des acteurs. L’expérience critique qui s’y développe repose sur la condamnation de certaines pratiques hollywoodiennes et la promotion d’une nouvelle cinéphilie engagée résolument à protéger les minorités collectives. La notion de dispositif acquiert ainsi tout son sens en ce sens que Darrieussecq parvient à faire arrimer ou coïncider organisation géométrale (ce qui est di...