L'effet de l'autoregulation des erreurs persistantes sur l'écriture des élèves française

Dans une classe typique d'immersion française en Colombie-Britannique, on voit souvent comment les erruers provenant d'anglicisme se transferent dans l'écriture des nos élèves. Mais la grande question à se poser est comment changer les attitudes des élèves envers la correction de l'écrit. Les outils de correction spécifiques qu'on trouve dans une salle de classe - les dictionnaires, les livres de conjugaison (Berscherelle) - ne sont pas toujours faciles à employer. En particulier pour les élèves plus jeunes, l'utilisation de ceux-ci peut-être décourageante. Afin d'améliorer l'écriture des élèves en immersion, it faut trouver et établir un sysème de correction qui encourage les élèves à s'auto-corriger et à s'auto-régler selon les stratégies qui leur sont pertinentes à travers des styles d'apprentissage et non pas basés principalement sur la mémorisation des règles de grammaire. Au début de ce project de recherche, mon objectif était de voir comment la création des ressources créatives pourrait encourager mes élèves de 6e année à chercher et à corriger les erreurs communes dans leur propre écriture et dans les travaux de leurs pairs. Est-ce que l'usage des ressources créés par eux-mêmes les motivera à corriger leurs erreurs à l'écrit? Après quelques mois, il était évident que certains aspects de cette stratégie de différenciation se sont révélés efficaces : les élèves ont créé des ressources de référence basées sur leurs propres erreurs et selon leurs styles d'apprentissage. Par conséquent, ils étaient plus motivés à utiliser leurs projets comme outils de correction que les autres ressources disponibles dans la salle de classe. Ce mémoire vise à montrer comment les stratégies d'enseignement employées affectaient la motivation de mes élèves à s'auto-corriger leurs travaux écrits et, parallèlement, à améliorer la qualité de leur écriture.Education, Faculty ofLanguage and Literacy Education (LLED), Department ofUnreviewedGraduat