Nature of Self in Arthur Miller’s ‘‘A View from the Bridge ’’

This study is an attempt to analyze the nature of Self in one of Miller’s most acclaimed plays, A View from the Bridge . The analysis focuses on the private self and the public self by giving a brief comparison of Miller’s Death of a salesman, The crucible and All my Sons . The study will first have a brief look at the nature of self in Miller’s earlier plays to reach a better understanding of the depth of self in his A view from the Bridge , which is the focal point of this study. Lastly, the paper concludes with suggesting that the only loophole to run away from this tragic duality of self is to accept that any kind of escape from the reality of life is self-destroying, so both the tears of happiness as well as the tears of melancholy should be equally accepted as the inevitable game of this complicated and unpredictable world of indifference; the game, which is the integral part of man’s existence. Key words: Miller; Duality; Private self; Public self Résumé Cette étude est une tentative d'analyser la nature de soi dans l'un des jeux les plus acclamés de Miller, Une vue du pont. L'analyse se concentre sur le soi privé et le public en donnant de soi une brève comparaison de la mort de Miller d'un vendeur, le creuset et tous mes fils. L'étude sera d'abord un bref regard sur la nature de l'auto dans des pièces antérieures de Miller pour atteindre une meilleure compréhension de la profondeur de l'auto dans sa Une vue du pont, qui est le point focal de cette étude. Enfin, le document se termine par ce qui suggère que l'échappatoire que de s'enfuir de cette dualité tragique de soi est d'accepter que toute sorte d'échapper à la réalité de la vie est autodestructeur, donc à la fois des larmes de bonheur ainsi que les larmes de la mélancolie devraient être également accepté comme le jeu incontournable de ce monde compliqué et imprévisible de l'indifférence; le jeu, qui est la partie intégrante de l'existence de l'homme. Mots-clés: Miller; La dualité; Le privé du soi; Le public du so