Un entretien, en décembre 2004, avec le compositeur français (vivant) devenu le plus célèbre en France et à l'étranger. Le sujet de la discussion est d'abord Pierre Boulez. Puis le compositeur aborde ses propres positions esthétiques. Il en termine, dans une mise en abyme, avec la question de la fin, et le paradoxe d'un bonheur de ne plus composer
Nemo nisi per amicitiam cognoscitur Je connais François Picard depuis les années où j’ai commencé à ...
Dans le rapport qu’il avait consacré au Centre Georges Pompidou, Michel de Certeau parlait de l’« im...
En 1945, à l’âge de 19 ans, Michel Ragon, écrivain autodidacte et prolétaire, quitta Nantes pour Par...
International audienceAhmed Essyad est un compositeur marocain né à Salé en 1938. Après une jeunesse...
C’est l’histoire d’une rencontre avec deux joueurs de cornemuse, l’un à Paris, l’autre en Limousin. ...
Les travaux présentés pour obtenir l’Habilitation à diriger les recherches en musique portent sur le...
Cet article explore deux dimensions de l’émotion musicale chez les Tsiganes de Ceuaş, un petit villa...
les critiques antimodernistes qui ont émaillé le XXe siècle partent peut-être d'un malentendu. Selon...
International audienceIl me semble que si l'on veut débattre de questions ayant trait à l'éducation,...
Les diverses modalités du geste sont passées ici en revue dans le cadre des cultures de l’Asie intér...
La figure de Pierre Boulez, compositeur majeur de l’après-guerre, puis chef d’orchestre de dimension...
Après avoir situé l’opéra-féerie de Gilles Tremblay et Pierre Morency créé à Montréal en novembre 20...
Pierre François est directeur de recherche au CNRS, rattaché au Centre de Sociologie des organisatio...
Cette étude vise à enquêter comment un conte assez célèbre de la littérature arabe classique (le mar...
Dans le cadre de la série de présentations dont le présent volume conserve la trace, Etienne Barilie...
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