Toute la poétique de Gustave Flaubert est parcourue, on le sait bien, par un rêve d’écriture musicale qui revient constamment, en guise d’écho, dans sa correspondance, en particulier dans son échange épistolaire avec Louise Colet pendant les années de la rédaction de Madame Bovary : « Une bonne phrase de prose doit être comme un bon vers, inchangeable, aussi rythmée, aussi sonore », affirme-t-il à sa correspondante en 1852. La prose doit donc être, pour lui, rythmée comme le vers, en restant ..
Le 7 juin 1844, Flaubert écrit à Louis de Cormenin : « J’ai lu Candide vingt fois, je l’ai traduit e...
Flaubert met à l’épreuve dans sa prose, dès ses premiers écrits, une voix qui rivalise avec le silen...
Flaubert met à l’épreuve dans sa prose, dès ses premiers écrits, une voix qui rivalise avec le silen...
Dans sa correspondance avec Louise Colet, notamment dans les années 1852-1854, lorsqu’il compose Mad...
Voilà un homme ! et un vrai artiste ! » écrit Flaubert à la lecture de la correspondance inédite de ...
Il faut que les phrases s’agitent dans un livre comme les feuilles dans une forêts, toutes dissembla...
Voilà un homme ! et un vrai artiste ! » écrit Flaubert à la lecture de la correspondance inédite de ...
Les brouillons de Flaubert témoignent de la lutte obstinée de l’écrivain avec la langue, de sa reche...
« Et puis on a assez parlé de la Bovary, je commence à en être las. […] Loin de vouloir exploiter mo...
Cet article d’inspiration génétique, qui aborde les scénarios au niveau de la phrase, se propose d’e...
Cet article d’inspiration génétique, qui aborde les scénarios au niveau de la phrase, se propose d’e...
Le 24 novembre 1862, après une période de rédaction de près de six ans, paraissait Salammbô que Flau...
Les analogies rapprochant l’œuvre de Flaubert de celle de Balzac constituent une donnée bien établie...
Flaubert fut un correspondant fidèle, attentif, varié. Ses lettres forment un long récit, bruissant ...
En 1849, Flaubert part pour l’Orient en compagnie de son ami Maxime Du Camp, après avoir repoussé la...
Le 7 juin 1844, Flaubert écrit à Louis de Cormenin : « J’ai lu Candide vingt fois, je l’ai traduit e...
Flaubert met à l’épreuve dans sa prose, dès ses premiers écrits, une voix qui rivalise avec le silen...
Flaubert met à l’épreuve dans sa prose, dès ses premiers écrits, une voix qui rivalise avec le silen...
Dans sa correspondance avec Louise Colet, notamment dans les années 1852-1854, lorsqu’il compose Mad...
Voilà un homme ! et un vrai artiste ! » écrit Flaubert à la lecture de la correspondance inédite de ...
Il faut que les phrases s’agitent dans un livre comme les feuilles dans une forêts, toutes dissembla...
Voilà un homme ! et un vrai artiste ! » écrit Flaubert à la lecture de la correspondance inédite de ...
Les brouillons de Flaubert témoignent de la lutte obstinée de l’écrivain avec la langue, de sa reche...
« Et puis on a assez parlé de la Bovary, je commence à en être las. […] Loin de vouloir exploiter mo...
Cet article d’inspiration génétique, qui aborde les scénarios au niveau de la phrase, se propose d’e...
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Le 24 novembre 1862, après une période de rédaction de près de six ans, paraissait Salammbô que Flau...
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Le 7 juin 1844, Flaubert écrit à Louis de Cormenin : « J’ai lu Candide vingt fois, je l’ai traduit e...
Flaubert met à l’épreuve dans sa prose, dès ses premiers écrits, une voix qui rivalise avec le silen...
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