En analysant le problème du fantastique dans l’oeuvre de Barbey d’Aurevilly, P. Colla constate que L'Ensorcelée et Un prêtre marié sont deux romans de cet auteur où l’occulte voire le surnaturel devient un élément d’art essentiel. Cette opinion paraît d’autant plus justifiée que Barbey d’Aurevilly lui-même, en parlant de L’Ensorcelée, s’est prononcé à ce sujet: „[...] il y a là-dedans l’audacieuse tentative d’un fantastique nouveau, sinistrement et crânement surnaturel — car on voit que l’auteur y croit sans petite bouche et sans fausse honte — qui n’est nullement celui d’Hoffmann ou de Goethe, ni celui de Lewis ou d’Ann Radcliffe.” (fragment tekstu