Superfluous Falstaff: Morality and Structure

Falstaff est excessif : par sa taille, par son comportement et par sa profusion rhétorique. Il est en quelque sorte une tumeur allégorique sur le corps politique, qui à d’autres endroits se forme à partir du discours des chroniques plutôt que de l’allégorie. Il donne de la couleur à la pièce et, sur le plan rhétorique, donne de la couleur à la vérité, utilisant souvent la figure préférée de Machiavel, la paradiastole. Falstaff dépasse Henry iv, « fuyant » vers The Merry Wives of Windsor, Henry v (l’acteur Richard Moore décrivit jadis Pistol comme « Falstaff devenu baroque ») et, probablement, les deux parties de Sir John Oldcastle (1599). Ou bien nous pourrions invoquer la notion de supplément développée par Derrida, en ce que cette croissance secondaire devient partie intégrante de l’original : « banish plump Jack, and banish all the world ».Falstaff is excessive: in size, behaviour, and in rhetorical copiousness. In some ways he is an allegorical tumour upon the body-politic, which is elsewhere formed from the discourse of chronicle rather than allegory. He colours the play and, rhetorically, colours the truth, often using the figure favoured by Machiavelli, paradiastole. Falstaff out-grows Henry iv, ‘escaping’ to The Merry Wives of Windsor, Henry v (the actor Richard Moore once described Pistol as ‘Falstaff gone baroque’) and, probably, the two parts of Sir John Oldcastle (1599). Or we might invoke Derrida’s notion of the supplement, in that this secondary growth becomes integral to the original whole: ‘banish plump Jack, and banish all the world’