Les organisateurs du colloque « Bède le Vénérable » m’ont confié, en finale, une tâche difficile, mais un peu moins rhétorique que les habituelles conclusions : celle de commenter, comme philologue, le récent développement des études sur Bède et leurs possibilités de renouvellement. Je vais donc gloser, en quelque sorte, le sous-titre de notre rencontre : « Bilans et perspectives », en me fondant à la fois sur ce qui vient d’être dit et sur mon expérience d’éditeur de textes et d’historien de..