Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.Car tel homme a travaillé avec sagesse et science et avec succès, et il laisse le produit de son travail à un homme qui ne s’en est point occupé. C’est encore une vanité et un grand mal. Que revient-il, en effet, à l’homme de tout son travail et de la préoccupation de son cœur, objet de ses fatigues sous le soleil ? Tous ses jours ne sont que douleur, et son partage n’est que chagrin ; même la nuit son cœur ne repose p..
« Ça sent la naphtaline », nous avait répondu Pierre Sillières quand, il y a quelque temps, nous lui...
Ça y est, l’été est là et avec lui bientôt la mise entre parenthèses – courte – des activités de rec...
Le pénis, c’est ce à quoi je pense ; je veux dire ce que tout homme possède et promène avec lui. Il ...
Vingt ans de vie littéraire : c’est très peu, trop peu. Surtout quand on sait le temps nécessaire po...
Cet ouvrage est pur produit du mérite. Un grand pas pour l’humanité ? Ce serait trop dire ; mais un ...
Celui qui ressent la nécessité de créer une œuvre d’art le fait sans se préoccuper d’un quelconque «...
Mot d’accueil Ce rendez-vous n’est pas un rendez-vous ordinaire. En ouvrant nos travaux, permettez-m...
D’où vient qu’un lieu aurait « de l’esprit » ? Sauf peut-être du côté des drôleries spiritistes, auc...
Le travail est en crise ! Que de fois n’a-t-on entendu cette remarque. À la fin du dix-neuvième sièc...
Le travail est en crise ! Que de fois n’a-t-on entendu cette remarque. À la fin du dix-neuvième sièc...
Le Temps. À coup sûr, vous faisiez bien si vous m’attendiez. On dirait que vous ne savez pas tout ce...
[...] « Vous savez que je ne m’amuse guère à la maison ; on ne me mène jamais au spectacle ; mon tut...
Consigne : « Mon travail de recherche, alors… heureux ? » Après avoir rendu le travail préparatoire...
Le travail est en crise ! Que de fois n’a-t-on entendu cette remarque. À la fin du dix-neuvième sièc...
Pour parler de réflexivité, il faut bien qu’il y ait un sujet qui s’affirme comme tel et qui revendi...
« Ça sent la naphtaline », nous avait répondu Pierre Sillières quand, il y a quelque temps, nous lui...
Ça y est, l’été est là et avec lui bientôt la mise entre parenthèses – courte – des activités de rec...
Le pénis, c’est ce à quoi je pense ; je veux dire ce que tout homme possède et promène avec lui. Il ...
Vingt ans de vie littéraire : c’est très peu, trop peu. Surtout quand on sait le temps nécessaire po...
Cet ouvrage est pur produit du mérite. Un grand pas pour l’humanité ? Ce serait trop dire ; mais un ...
Celui qui ressent la nécessité de créer une œuvre d’art le fait sans se préoccuper d’un quelconque «...
Mot d’accueil Ce rendez-vous n’est pas un rendez-vous ordinaire. En ouvrant nos travaux, permettez-m...
D’où vient qu’un lieu aurait « de l’esprit » ? Sauf peut-être du côté des drôleries spiritistes, auc...
Le travail est en crise ! Que de fois n’a-t-on entendu cette remarque. À la fin du dix-neuvième sièc...
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Le Temps. À coup sûr, vous faisiez bien si vous m’attendiez. On dirait que vous ne savez pas tout ce...
[...] « Vous savez que je ne m’amuse guère à la maison ; on ne me mène jamais au spectacle ; mon tut...
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« Ça sent la naphtaline », nous avait répondu Pierre Sillières quand, il y a quelque temps, nous lui...
Ça y est, l’été est là et avec lui bientôt la mise entre parenthèses – courte – des activités de rec...
Le pénis, c’est ce à quoi je pense ; je veux dire ce que tout homme possède et promène avec lui. Il ...