Cet ouvrage n’aurait pu être sans le soutien de celles et ceux auxquels je voudrais témoigner ma gratitude. Je remercie Madame Thérèse Achart qui, la première, a levé le voile sur le travail d’un homme de théâtre oublié et qui m’a soutenue pendant mes recherches. Je voudrais dire ici toute ma reconnaissance à Béatrice Picon-Vallin qui m’a aidée à resituer Firmin Gémier en théoricien du théâtre populaire. J’aimerais que Didier Plassard et Jean-Pierre Ryngaert sachent combien je leur suis oblig..