La longue période qui va de la fin de l’Antiquité jusque vers l’an Mil environ est apparemment pour Sainte-Marie-Majeure la période la plus tranquille de son histoire pendant laquelle elle continue à jouer le rôle que lui avait assigné ses fondateurs. Elle a partagé sans problèmes particuliers l’histoire de l’Église de Rome, avec ses fastes et ses épreuves, et continua à occuper une place non négligeable parmi les basiliques de la Ville, voire un rang éminent en compagnie de celles du Latran ..