En octobre 1947, le ministre de l’Économie nationale, préoccupé par les conditions de ventes à tempérament des véhicules automobiles, demande à la Banque de France de bien vouloir faire procéder à une enquête sur la question. Étendues à l’ensemble du secteur des biens dits de consommation, les conclusions de l’enquête, débattues au sein du Conseil national du crédit, conduisent ce dernier à rejeter tout développement du crédit à la consommation, à l’exception du secteur automobile. Jugé illég..