Depuis le passage du cyclone Hugo en 1989, la Guadeloupe est plus ou moins préparée à affronter un nouvel évènement cyclonique (alerte météo, abris anti-cycloniques, etc.). En revanche, pour ce qui concerne les tsunamis, ce n’est que depuis quelques années (après le tsunami de 2004 dans l’océan indien, le séisme de Haïti de 2010 et le tsunami du Japon de 2011) qu’une prise de conscience du risque encouru dans la Caraïbe et plus particulièrement dans l’archipel guadeloupéen s’est faite. Des projets d’évaluation de ces risques ont alors vu le jour et c’est dans le cadre de l’un d’eux (projet INTERREG IV TSUNAHOULE) que l’étude de l’aléa submersion marine pour la réserve naturelle de Petite-Terre a été réalisée. Au travers de 3 scénarios extrê...