Si la présente étude a pu être menée à bien, elle le doit en grande partie à Mme Denise Bindschedler-Robert, Professeur à l’Institut Universitaire de Hautes Etudes Internationales et ancien Juge à la Cour européenne des droits de l’homme. Celle-ci m’a fait profiter de sa grande compétence en la matière et a guidé mon travail par ses conseils et ses critiques constructives. Je tiens ici à lui exprimer ma profonde reconnaissance. Je voudrais également adresser mes remerciements à M. Lucius Cafl..