Le texte est issu d’une longue entrevue durant laquelle la comédienne et conteuse Monique Burg (en occitan Monica Burg) dit sa découverte de deux façons de raconter une histoire. Dans un style narratif très personnel, que la transcription a essayé de conserver, elle y insiste sur l’importance de son ancrage dans un lieu, une langue et un monde précis, le Périgord de son enfance. C’est à partir de là qu’elle exerce désormais ses deux métiers, en occitan, français ou anglais, après une douzaine d’années passées en Angleterre et des études de théâtre à Londres. Elle nous parle de son approche personnelle du conte et montre, à partir de son répertoire, comment elle tente de « rendre le conte au public ». Le « pour moi » qui revient au détour de...