« Produire un film relève de l’art et non du travail, a déclaré Albert Capellani. Il est bien placé pour le savoir. »Variety, 1917 Même à l’aune de l’amnésie de l’industrie cinématographique, la fin brutale de l’état de grâce d’Albert Capellani est notable. Son nom est rarement mentionné dans les textes sur l’histoire du cinéma américain ou dans les mémoires de ses contemporains. Alors que les œuvres américaines de compatriotes émigrés comme Maurice Tourneur, Alice Guy Blaché et Léonce Perret..
Le premier film d’Albert Capellani, Le Chemineau (1905), s’ouvre par un plan saisissant, sans équiva...
Sous un titre emprunté à une série d’article de Grémillon parus dans l’Ecran français en 1947, cet o...
Marius O’Galop et Robert Lortac sont certainement les continuateurs les plus immédiats d’Émile Cohl ...
« Produire un film relève de l’art et non du travail, a déclaré Albert Capellani. Il est bien placé ...
Dans le numéro 29, décembre 1999, de la revue 1895, on pouvait lire l’annonce d’une « Rétrospective ...
Albert Capellani arriva en Amérique le 22 mars 1915 dans le cadre d’un contrat en vue de réaliser de...
Les débuts Avant d’être nommé directeur artistique de la Société Cinématographique des Auteurs et Ge...
En 1914, Albert Capellani est au sommet de sa carrière. Il est un des premiers metteurs en scène fra...
« Je suis en train de refaire Shakespeare », disait Zecca à un ami qui l’avait trouvé la plume à la ...
Robert Lortac : J’ai commencé ma carrière par « le film d’après nature ». En 1914, des camarades o...
Quatre-vingt-treize – que Victor Hugo orthographie Quatrevingt-treize – est le dernier film qu’Alber...
C’est au cours de son premier séjour en Italie de 1909 à 1911 qu’André Deed met au point une formule...
Deux ouvrages sortent simultanément sur l’Antiquité au cinéma : celui de Natacha Aubert, thèse soute...
Pour établir cette filmographie, il a fallu surmonter les difficultés liées au manque cruel de sourc...
Je suis heureuse que 1895 ait publié mon essai intitulé « Généalogie du Carrosse d’or de Jean Renoir...
Le premier film d’Albert Capellani, Le Chemineau (1905), s’ouvre par un plan saisissant, sans équiva...
Sous un titre emprunté à une série d’article de Grémillon parus dans l’Ecran français en 1947, cet o...
Marius O’Galop et Robert Lortac sont certainement les continuateurs les plus immédiats d’Émile Cohl ...
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