1. À Simone Routier Mardi, [3] août 1920 Mademoiselle Routier, Québec. Simone, Je ne devrais pas, Simone, vous écrire ce soir, dans l’état où je me trouve. Mais il me semble si doux de vous confier mes misères, à vous qui m’êtes tout, vous entendez, que vous pardonnerez à la pauvreté de mon âme. Je n’ai pu, Simone, depuis votre départ, ni penser, ni réfléchir. J’ai crié, bêtement, ma souffrance, et toutes mes anciennes rancœurs, mes révoltes d’autrefois, me sont revenues. C’est que, voyez-vou..
- L.Z. : Ma petite enfance soviétique ? Je ne suis pas sûre d’en faire un récit cohérent. J’ai gra...
À vous, qui parcourez ces allées, ces voies et ces pièces. À vous, qui respirez. À vous, qui demain ...
Paris, ce 24 août 1866 Ma chère sœur, Je te remercie bien de ta bonne lettre de ce matin. Nous a...
Ces mots empruntés à Marguerite Porete, que j’extrais du beau volume intitulé Voix de femmes au Moye...
Madame, Je vous remercie d’avoir pris la peine de lire la recension, hélas trop brève, qu’il m’a ét...
On m’a demandé plusieurs fois pourquoi j’avais décidé de faire médecine. Comme ça, de premier abord,...
Lettres retrouvées 1643-s.d., à Mme de Toulonjon Madame ma très chère Cousine,Il faut que je vous en...
« Il insista, en ajoutant : — Ça ne vaudrait rien, ni pour toi, ni pour nous. — C’est bien, mon oncl...
« La bonne, vivement, avait desservi, et Denise s’oubliait près de la fenêtre, intéressée par la pet...
MONSIEUR, C’EST à l’Approbation que vous avez donnée à mes premieres idées sur cet Ouvrage, que je d...
Jamais petit vocable de trois lettres n’aura eu autant d’homonymes ! C’est donc en vers que l’on pou...
Sarah grandissait. En sauvageonne. Aussi timide que sa mère, elle avait compris d’instinct qu’elle a...
« Ce sont ces gens-là, que je veux peindre, pour avoir l'autre face de la vérité, et pour être ainsi...
« Même mes mots à moi, ceux dont je me sers d’ordinaire sans bien les voir, lorsqu’ils doivent venir...
Sainte Vos idées de grandeur vous perdront, ma sœur. Et tout le couvent avec vous. Qui...
- L.Z. : Ma petite enfance soviétique ? Je ne suis pas sûre d’en faire un récit cohérent. J’ai gra...
À vous, qui parcourez ces allées, ces voies et ces pièces. À vous, qui respirez. À vous, qui demain ...
Paris, ce 24 août 1866 Ma chère sœur, Je te remercie bien de ta bonne lettre de ce matin. Nous a...
Ces mots empruntés à Marguerite Porete, que j’extrais du beau volume intitulé Voix de femmes au Moye...
Madame, Je vous remercie d’avoir pris la peine de lire la recension, hélas trop brève, qu’il m’a ét...
On m’a demandé plusieurs fois pourquoi j’avais décidé de faire médecine. Comme ça, de premier abord,...
Lettres retrouvées 1643-s.d., à Mme de Toulonjon Madame ma très chère Cousine,Il faut que je vous en...
« Il insista, en ajoutant : — Ça ne vaudrait rien, ni pour toi, ni pour nous. — C’est bien, mon oncl...
« La bonne, vivement, avait desservi, et Denise s’oubliait près de la fenêtre, intéressée par la pet...
MONSIEUR, C’EST à l’Approbation que vous avez donnée à mes premieres idées sur cet Ouvrage, que je d...
Jamais petit vocable de trois lettres n’aura eu autant d’homonymes ! C’est donc en vers que l’on pou...
Sarah grandissait. En sauvageonne. Aussi timide que sa mère, elle avait compris d’instinct qu’elle a...
« Ce sont ces gens-là, que je veux peindre, pour avoir l'autre face de la vérité, et pour être ainsi...
« Même mes mots à moi, ceux dont je me sers d’ordinaire sans bien les voir, lorsqu’ils doivent venir...
Sainte Vos idées de grandeur vous perdront, ma sœur. Et tout le couvent avec vous. Qui...
- L.Z. : Ma petite enfance soviétique ? Je ne suis pas sûre d’en faire un récit cohérent. J’ai gra...
À vous, qui parcourez ces allées, ces voies et ces pièces. À vous, qui respirez. À vous, qui demain ...
Paris, ce 24 août 1866 Ma chère sœur, Je te remercie bien de ta bonne lettre de ce matin. Nous a...