« Les secrétariats sociaux n’ont jamais été à la mode, même au temps de leur création. Mais les modes passent et ils demeurent ». Ce propos liminaire dans un numéro d’une revue emblématique du catholicisme social a de quoi surprendre l’historien du fait religieux : la fondation de ces organismes n’a-t-elle pas été, au tournant des xixe et xxe siècles, la traduction de préoccupations de catholiques ancrés dans les réalités sociales de leur époque, soucieux de décrire les réalités du monde écon..