L’œuvre de fiction de Martin Amis, qui commence au début des années 70 (The Rachel Papers, son premier roman, date de 1973), prend place dans un débat concernant la relation du monde aux signes et la possibilité pour le sujet de représenter à la fois ce qui est hors de lui et ce qui est en lui. Elle pose la question de la capacité qu’a l’écrivain de construire du sens à la fin du xxe siècle. Cette question est celle-là même que pose le discours postmoderne élaboré par la littérature contempor..
La notion de métafiction ou de métanarativité a été introduite en 1970 par William Gass et implique ...
C’est d’abord le titre de l’ouvrage proposé par les auteurs qui intrigue par son aspect provocateur....
International audience« Pourquoi tant de promesses ? » telle est la question à l’origine de ce volum...
L’étude présentée ici prend place au point de conjonction d’une réflexion personnelle suscitée par l...
Résumé : La prise en compte et le développement des questions liées à des communautés souvent stigma...
« Le savant dans les lettres » : ce titre donné au colloque des « Modernités médiévales » qui s’est ...
A Olivier CHAZAUD Lorsqu’en 1956, Alain Robbe-Grillet trace « une voie pour le roman futur », il con...
Si l’on peut dire que toute fiction produit un monde dont la dimension référentielle fait plus ou mo...
Quiconque se retrouve confronté pour la première fois à un film d’Abbas Kiarostami ne peut que resse...
Depuis les années 1980, il est devenu possible d’envisager une transitivité de l’écriture et, par là...
Ce mémoire, dont la base essentielle se compose de l'étude de sept publications de Timothy Radcliffe...
Dans les pages précédentes, les questions de langue ont été abordées par le biais de leur représenta...
Ce petit texte se veut un hommage à tous les participants d'un fil de discussion fort polémique, en ...
La fiction se définit-elle comme une image du réel, ou bien la feinte dont elle procède met-elle en ...
À moins de considérer que par le terme de postmodernité, sans le prendre à la lettre, on n'entende q...
La notion de métafiction ou de métanarativité a été introduite en 1970 par William Gass et implique ...
C’est d’abord le titre de l’ouvrage proposé par les auteurs qui intrigue par son aspect provocateur....
International audience« Pourquoi tant de promesses ? » telle est la question à l’origine de ce volum...
L’étude présentée ici prend place au point de conjonction d’une réflexion personnelle suscitée par l...
Résumé : La prise en compte et le développement des questions liées à des communautés souvent stigma...
« Le savant dans les lettres » : ce titre donné au colloque des « Modernités médiévales » qui s’est ...
A Olivier CHAZAUD Lorsqu’en 1956, Alain Robbe-Grillet trace « une voie pour le roman futur », il con...
Si l’on peut dire que toute fiction produit un monde dont la dimension référentielle fait plus ou mo...
Quiconque se retrouve confronté pour la première fois à un film d’Abbas Kiarostami ne peut que resse...
Depuis les années 1980, il est devenu possible d’envisager une transitivité de l’écriture et, par là...
Ce mémoire, dont la base essentielle se compose de l'étude de sept publications de Timothy Radcliffe...
Dans les pages précédentes, les questions de langue ont été abordées par le biais de leur représenta...
Ce petit texte se veut un hommage à tous les participants d'un fil de discussion fort polémique, en ...
La fiction se définit-elle comme une image du réel, ou bien la feinte dont elle procède met-elle en ...
À moins de considérer que par le terme de postmodernité, sans le prendre à la lettre, on n'entende q...
La notion de métafiction ou de métanarativité a été introduite en 1970 par William Gass et implique ...
C’est d’abord le titre de l’ouvrage proposé par les auteurs qui intrigue par son aspect provocateur....
International audience« Pourquoi tant de promesses ? » telle est la question à l’origine de ce volum...