Deux légendes extrême-orientales sur la peinture nous serviront à conclure ce travail. La première est empruntée par Segalen et réadaptée à sa façon. Elle se trouve à la fin des Peintures magiques. Nous l’avons déjà évoquée au cours de notre étude, mais la revoir maintenant nous permettra d’avoir une ouverture nouvelle sur la compréhension de l’œuvre. L’Empereur devant les peintures, émerveillé, exprime par de lourds soupirs son désir de posséder le monde peint comme le sien. ..