Les vecteurs des agents du paludisme ou de la leishmaniose, rencontrés lors de voyages dans les régions à climat chaud, s'ajoutant à la transmission par le moustique tigre (Aedes albopictus) des virus chikungunya et de la dengue dans le sud de la France, ont montré l'intérêt d'une réflexion approfondie sur la protection personnelle antivectorielle. En cas d'épidémie, nos concitoyens se protègent individuellement en se procurant sur le marché tout un arsenal de moyens où le meilleur côtoie le pire. Pour donner à chacun des informations sur l'efficacité et l'innocuité de ces moyens de protection, la Société de médecine des voyages et la Société française de parasitologie ont initié cette étude qui a pris la forme de « Recommandations de bonne...