Qu’il me soit ici permis de remercier tous ceux qui m’ont généreusement donné leur temps, leur avis, leurs conseils, leurs encouragements, et sans qui cet ouvrage n’aurait pu voir le jour. Je tiens tout d’abord à adresser mes plus sincères et chaleureux remerciements à Marie-Jeanne Rossignol, qui, plus de douze ans avant de me faire l’honneur d’accepter de diriger ma thèse de doctorat, dont le présent ouvrage est issu, a été mon premier professeur de civilisation américaine au sein de l’U.F.R..