Pour les personnages du drôle de roman, la libération des tourments de la vie intérieure ne se présente pas comme le moyen d’un affranchissement qui leur permettrait, par exemple, d’assurer leur devenir dans l’action. Pour ces personnages « extérieurs », qui ne sont plus soumis aux aléas de la conscience malheureuse, la désertion et le refuge ne sont guère possibles. Plutôt que de se retirer de la scène pour cultiver leur vie intérieure, ils sont engagés tout entiers dans le procès de théâtra..
Depuis longtemps, affirmer que le roman et l’idéologie font mauvais ménage relève du lieu commun le ...
Il est temps de faire apparaître « la clientèle » des hospices civils : elle est à la fois la raison...
Le travail des mains oblige l’esprit à la tranquillité et laisse le champ libre aux mouvements de l’...
La société se trouve donc, à chaque génération nouvelle, en présence d’une table presque rase sur la...
De Véronique FEYFANT Sous la direction de François SICOT Thèse en Sociologie, soutenue le 9 décembre...
I. Porte-parole de dieu Afin que leur enseignement ne soit pas abandonné à des improvisations hasard...
Descendons maintenant, au propre et au figuré, dans cet univers transitoire qui sépare la liberté de...
1 – La connaissance comme fondement Qu’est ce qui est fondamental pour l’homme, est-ce sa vie, sa su...
Le Hussard sur le toit, comme Angelo ou Mort d’un personnage, est le récit auto-réflexif de la conqu...
L’ouvrier se définit dans la société comme dans le cinéma d’abord par sa condition de travailleur ma...
La difficile expérience de la maladie et la perpétuelle conscience de la mort entraînent le besoin d...
Pourquoi le cœur de l’homme est-il dur au misérable qui lutte, sans ressources et la tête haute, pou...
A Venise, l’égotiste apparaît comme un homme privé de la connivence avec le monde extérieur qui fais...
Si c’est bien en premier lieu au nom de la liberté individuelle que le divorce fut reconnu aux Franç...
Le mot éthique est de plus en plus utilisé comme référent dans la vie quotidienne, qu’il s’agisse de...
Depuis longtemps, affirmer que le roman et l’idéologie font mauvais ménage relève du lieu commun le ...
Il est temps de faire apparaître « la clientèle » des hospices civils : elle est à la fois la raison...
Le travail des mains oblige l’esprit à la tranquillité et laisse le champ libre aux mouvements de l’...
La société se trouve donc, à chaque génération nouvelle, en présence d’une table presque rase sur la...
De Véronique FEYFANT Sous la direction de François SICOT Thèse en Sociologie, soutenue le 9 décembre...
I. Porte-parole de dieu Afin que leur enseignement ne soit pas abandonné à des improvisations hasard...
Descendons maintenant, au propre et au figuré, dans cet univers transitoire qui sépare la liberté de...
1 – La connaissance comme fondement Qu’est ce qui est fondamental pour l’homme, est-ce sa vie, sa su...
Le Hussard sur le toit, comme Angelo ou Mort d’un personnage, est le récit auto-réflexif de la conqu...
L’ouvrier se définit dans la société comme dans le cinéma d’abord par sa condition de travailleur ma...
La difficile expérience de la maladie et la perpétuelle conscience de la mort entraînent le besoin d...
Pourquoi le cœur de l’homme est-il dur au misérable qui lutte, sans ressources et la tête haute, pou...
A Venise, l’égotiste apparaît comme un homme privé de la connivence avec le monde extérieur qui fais...
Si c’est bien en premier lieu au nom de la liberté individuelle que le divorce fut reconnu aux Franç...
Le mot éthique est de plus en plus utilisé comme référent dans la vie quotidienne, qu’il s’agisse de...
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Il est temps de faire apparaître « la clientèle » des hospices civils : elle est à la fois la raison...
Le travail des mains oblige l’esprit à la tranquillité et laisse le champ libre aux mouvements de l’...