Je tiens à remercier avant tout le Centre canadien d’études allemandes et européennes de l’Université de Montréal pour l’environnement vif et stimulant qu’il offre aux chercheurs qui s’intéressent à la pensée allemande, ainsi que pour son appui lors des recherches ayant mené à la préparation de ce livre. Je souhaite aussi remercier monsieur Jean Grondin et le Départe ment de philosophie de l’Université de Montréal pour leur accueil lors de mon stage postdoctoral, pendant lequel j’ai pu travai..