La condition moderne du roman Ce qu’on pourrait appeler la « victoire » de la modernité, au XIXe siècle, c’est-à-dire la victoire contre tout ce qui lui résistait encore — primauté de la tradition, sentiment d’unité du monde, linéarité du temps — est un événement majeur pour l’histoire du roman. Il s’agit certes d’un événement majeur pour toute la littérature (l’idée même de « littérature » se trouvant d’ailleurs consacrée par cette victoire), comme pour l’ensemble des lieux de la pen..
Quand on examine les mots avec lesquels rime fenestre dans le Roman de Thèbes et le Roman d’Eneas, o...
Édouard Estaunié a 34 ans lorsque son roman L’Empreinte paraît en 1895. Il a alors terminé ses étude...
Que reste-t-il aujourd’hui de L’Astrée, que les contemporains s’accordaient à considérer comme le pl...
Le romantisme, fort de son nouveau rapport à l’histoire, que nous avons évoqué dans la première part...
L’histoire du roman débute pour certains au XVe siècle avec Boccace, pour d’autres au XVIe avec Rabe...
L’extrême lisibilité de cette forme romanesque qui pousse à son acmé une « forme excessive du dire »...
En distinguant dans l’étude de la pensée du roman un schème diachronique et un schème synchronique, ...
Sans s’arrêter au choix des œuvres gardées ou remises au répertoire, on évoque ici la façon dont les...
Pas plus qu’il n’existait en latin de mot pour désigner la romanisation ou la latinisation, il n’en ...
La Renaissance carolingienne, s’il est permis d’employer une formule aussi prétentieuse, n’a rien ap...
L’ancienne culture carnavalesque médiévale fut un phénomène culturel d’une grande ampleur dont Bakht...
L’engagement littéraire serait une chose du passé. Il appartiendrait, dit-on, à un temps tout aussi ...
L’idée que la « modernité » en finit avec le vers ou, à tout le moins, qu’une insistance à réduire l...
À partir du XIXe siècle, tout se passe comme si l’éthique des Lumières, prenant conscience que le ro...
À la rhétorique de l’épopée qui survalorise sa dimension traditionnelle, cherche à se constituer com...
Quand on examine les mots avec lesquels rime fenestre dans le Roman de Thèbes et le Roman d’Eneas, o...
Édouard Estaunié a 34 ans lorsque son roman L’Empreinte paraît en 1895. Il a alors terminé ses étude...
Que reste-t-il aujourd’hui de L’Astrée, que les contemporains s’accordaient à considérer comme le pl...
Le romantisme, fort de son nouveau rapport à l’histoire, que nous avons évoqué dans la première part...
L’histoire du roman débute pour certains au XVe siècle avec Boccace, pour d’autres au XVIe avec Rabe...
L’extrême lisibilité de cette forme romanesque qui pousse à son acmé une « forme excessive du dire »...
En distinguant dans l’étude de la pensée du roman un schème diachronique et un schème synchronique, ...
Sans s’arrêter au choix des œuvres gardées ou remises au répertoire, on évoque ici la façon dont les...
Pas plus qu’il n’existait en latin de mot pour désigner la romanisation ou la latinisation, il n’en ...
La Renaissance carolingienne, s’il est permis d’employer une formule aussi prétentieuse, n’a rien ap...
L’ancienne culture carnavalesque médiévale fut un phénomène culturel d’une grande ampleur dont Bakht...
L’engagement littéraire serait une chose du passé. Il appartiendrait, dit-on, à un temps tout aussi ...
L’idée que la « modernité » en finit avec le vers ou, à tout le moins, qu’une insistance à réduire l...
À partir du XIXe siècle, tout se passe comme si l’éthique des Lumières, prenant conscience que le ro...
À la rhétorique de l’épopée qui survalorise sa dimension traditionnelle, cherche à se constituer com...
Quand on examine les mots avec lesquels rime fenestre dans le Roman de Thèbes et le Roman d’Eneas, o...
Édouard Estaunié a 34 ans lorsque son roman L’Empreinte paraît en 1895. Il a alors terminé ses étude...
Que reste-t-il aujourd’hui de L’Astrée, que les contemporains s’accordaient à considérer comme le pl...