C’est Robert Merle lui-même ou, pour être plus précise, la lecture de ses œuvres, qui fit naître cet ouvrage, version remaniée de ma thèse de doctorat. On peut s’étonner de ce qu’il ait pu susciter cette vocation universitaire si l’on s’arrête à sa présentation de la feue thèse d’État, dans Derrière la vitre : Et à quoi ça rime, ces thèses de Lettres. Il n’y a qu’en France qu’on exige ces pavés de 500 à 1000 pages, monumentaux et exhaustifs, sorte de chef-d’œuvre moyenâgeux de compagnon, qui ..