En juin 1689, Vauban propose à Seignelay, secrétaire d’État à la Marine, d’investir dans les armements corsaires dunkerquois. Rappelons que le corsaire est un navire auxiliaire de la marine de guerre de l’État rémunéré par le produit éventuel de ses prises et de ses rançons. Il n’exerce qu’en temps de guerre et ses captures sont validées par un tribunal des prises. L’investissement corsaire est très important dès qu’un navire dépasse les 25 tonneaux et le financement cesse d’être local d’auta..
La première piraterie Tout, et parfois n’importe quoi, a été dit sur la piraterie, la course et la f...
Du bois, du fer, du chanvre, du goudron, des canons, des mâts, de la toile à voile, des cordages, de...
« Nous avons souvent vu que de Versailles on vouloit être Commandant, Intendant ou Major dans les Po...
Pratiquement aucun corsaire français n’est allé au sens strict faire des prises dans la Tamise, mais...
Entre le xviie siècle et la chute de Napoléon Ier, le port terre-neuvier de Granville pratique régul...
Le nom de Dunkerque est indissociablement lié à celui de Jean Bart, souvent baptisé roi des corsaire...
Résumé Etudier le financement des armements maritimes nantais suppose d'abord que soit définie la fi...
À la fin de la guerre de Sept Ans, la marine française avait moins besoin d’être reconstruite que de...
Si les opérations navales américaines au cours des deux conflits mondiaux et la présence permanente ...
La « course » désignait un mode de guerre sur mer, pratiquée par des particuliers, auxquels l’État d...
A la fin des années vingt et au début des années trente on note en Pologne l'augmentation de l'impor...
Granville pratiqua donc intensément la guerre de course. La logique consisterait dès lors à évaluer ...
À partir de la Régence, la monarchie se dote de moyens administratifs, techniques et financiers dest...
Vendredi 20 mai, 16h-18h Amphi La Chapelle, département d’Histoire, ULCO 34 Grande Rue 62200 Boulog...
En autorisant la course, la République entend d’abord s’attaquer au commerce maritime de ses ennemis...
La première piraterie Tout, et parfois n’importe quoi, a été dit sur la piraterie, la course et la f...
Du bois, du fer, du chanvre, du goudron, des canons, des mâts, de la toile à voile, des cordages, de...
« Nous avons souvent vu que de Versailles on vouloit être Commandant, Intendant ou Major dans les Po...
Pratiquement aucun corsaire français n’est allé au sens strict faire des prises dans la Tamise, mais...
Entre le xviie siècle et la chute de Napoléon Ier, le port terre-neuvier de Granville pratique régul...
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À la fin de la guerre de Sept Ans, la marine française avait moins besoin d’être reconstruite que de...
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La « course » désignait un mode de guerre sur mer, pratiquée par des particuliers, auxquels l’État d...
A la fin des années vingt et au début des années trente on note en Pologne l'augmentation de l'impor...
Granville pratiqua donc intensément la guerre de course. La logique consisterait dès lors à évaluer ...
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En autorisant la course, la République entend d’abord s’attaquer au commerce maritime de ses ennemis...
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