Qu’il me soit permis d’exprimer mes plus sincères remerciements à Benoît Melançon et Michel Delon, qui ont dirigé la thèse de doctorat à partir de laquelle a été préparé ce livre. Mille mercis à Ulla Kölving, dont l’aimable générosité et le vif intérêt qu’elle porte à l’œuvre de Louise d’Épinay ont profondément nourri mes recherches depuis notre rencontre, en 2006, à l’occasion du premier colloque international ayant été consacré à cette femme des Lumières. La bienveillance et l’amitié de Ben..