C’est l’influence des sols qui, au terme de cette analyse, apparaît comme le facteur dominant de variation des rapports entre la pluviosité et l’écoulement dans les deux zones climatiques étudiées : les différences de première grandeur, entre le Taquari, le Jacui et le Paraïba lui sont imputables : grâce à l’épaisseur exceptionnelle du manteau d’altération qui couvre la plus grande partie de son bassin, le Paraïba qui reçoit moins de pluie dans une région plus chaude et plus accidentée a une ..