Hope and resilience, death and the Gods: an ontological analysis of Aztec human sacrifice

This thesis aims to better understand calendrical human sacrifice in the Aztec Empire, ca. 1427–1521 in what is now central Mexico, through a more thorough investigation into Aztec ontology. It is argued that human sacrifice was an act of hope and resilience by the Aztec people in a world that was fragile, and was a ritual that granted life to the natural world and the gods themselves.This thesis begins with a reassessment of the archaeological and primary ethnohistoric data for Aztec sacrifice. It challenges enduring, historically-derived conceptions surrounding Aztec sacrifice, including: the scale and distribution of human sacrifice in the Aztec Empire; the existence of heart sacrifice and cannibalism; and the association between sacrifice and adult men. It will then examine two types of routine, calendrical sacrifices in the Aztec Empire: the sacrifice of teixiptlahuan or human gods generally, which occurred almost monthly; and the sacrifice of children teixiptlahuan to the rain gods specifically. An exploration of the common sacrifices of teixiptlahuan and the Aztecs' ontological understanding of "self" and "god" reveal that both humans and gods were vulnerable, that "human" and "god" were not mutually exclusive categories, and that the Aztecs were taking an active role in maintaining existence and maintaining the gods through sacrifice in an act of hope. A study of child sacrifice reveals that children were respected and treated like adults in ritual, and that—despite the metaphysical importance of sacrifice—sacrifice could be incredibly difficult for the Aztecs and was consequently a demonstration of resilience. Following these investigations, Aztec sacrifice becomes a practice that is understandable, hopeful, and ordinary, rather than remarkable, extreme and tragic, and thus challenges a centuries-old legacy of racism and dehumanization in Aztec studies.Cette thèse vise à mieux comprendre le sacrifice humain calendaire dans l'empire aztèque, vers 1427–1521 dans ce qui est maintenant le centre du Mexique, au moyen d'une enquête sur l'ontologie aztèque. On affirme que le sacrifice humain était un acte d'espoir et de résilience du peuple aztèque dans un monde qui était fragile, et que le sacrifice humain était un rituel qui donnait la vie au monde naturel et aux dieux eux-mêmes.Cette thèse commence avec une réévaluation des données archéologiques et ethnohistoriques primaires pour le sacrifice aztèque. Elle conteste les conceptions durable dérivées de l'histoire sur le sacrifice aztèque, y compris: l'ampleur et la distribution du sacrifice humain dans l'empire aztèque; l'existence du sacrifice du cœur et du cannibalisme; et l'association entre le sacrifice et les hommes adultes. On va examiner ensuite deux types de sacrifices routines et calendaires dans l'empire aztèque: le sacrifice des teixiptlahuan ou dieux-humains en général, ce qui se passait presque tous les mois; et le sacrifice des teixiptlahuan qui étaient enfants sacrifiait pour les dieux de la pluie spécifiquement.Une exploration des sacrifices ordinaires de teixiptlahuan et des compréhensions ontologiques de "soi" et de "dieu" des aztèques révèle que les humains et les dieux étaient vulnérables, que "humain" et "dieu" n'étaient pas des catégories mutuellement exclusives, et que les aztèques prenaient jouer un rôle actif dans le maintien de l'existence et le maintien des dieux à travers du sacrifice dans un acte d'espoir. Une étude des sacrifices d'enfants révèle que les enfants étaient respectés et traités comme des adultes dans les rituels et que—malgré l'importance métaphysique du sacrifice—les sacrifices pourraient être extrêmement difficiles pour les aztèques et étaient donc une expression de résilience. S'appuyant sur ces enquêtes, le sacrifice aztèque devient une pratique qui est compréhensible, plein d'espoir et ordinaire, plutôt que remarquable, extrême et tragique, et donc conteste un héritage de racisme et de déshumanisation dans les études aztèques