Il faut qu’ils avouent de toute nécessité, que quand bien même l’Existence d’un Dieu, c’est-à-dire, d’un Etre sage, Intelligent, Juste & Bon, par qui le Monde est gouverné, seroit une chose impossible à prouver, il seroit au moins fort à souhaiter qu’elle fût vraie, & qu’il n’y a point d’homme sage, qui n’en dût être ravi pour le bien & pour la felicité commune du Genre humain. Dans les « clameurs impies » qui sourdent des ouvrages condamnés à « être brûlés » par ordre du Parlement, le 18 aoû..