On m’aurait beaucoup surpris si l’on m’avait dit, il y a soixante ans, que j’aurais un jour à conclure un colloque de droit canonique. Cette discipline était alors à mes yeux une sorte de monstre bizarre que seuls quelques spécialistes fort érudits pouvaient maîtriser. Et pourtant, historien de formation, et bientôt historien du christianisme des Temps modernes, je l’ai apprivoisé insensiblement, au long de recherches sur les visites pastorales, les synodes diocésains, les conciles provinciau..