« Alfred est mort lundi soir à minuit ». Sur la mort d’Alfred Le Poittevin, le 3 avril 1848, et sur les jours qui ont suivi, on connaissait la longue lettre que Flaubert a écrite à Maxime Du Camp le vendredi 7 avril, le lendemain de l’enterrement : « Je l’ai enterré hier et je suis revenu. Je l’ai gardé pendant deux nuits (la dernière nuit, entière), je l’ai enseveli dans son drap, je lui ai donné le baiser d’adieu et j’ai vu souder son cercueil. J’ai passé là deux jours... larges ». La lettr..
Toute la poétique de Gustave Flaubert est parcourue, on le sait bien, par un rêve d’écriture musical...
Le 7 juin 1844, Flaubert écrit à Louis de Cormenin : « J’ai lu Candide vingt fois, je l’ai traduit e...
Dans sa maison de Croisset, Gustave Flaubert aimait s’adonner à la baignade. Dans sa correspondance,...
La troisième Tentation possède, au moment où elle paraît, une actualité. Ce n’était plus ce texte qu...
Manuscrit autographe, 212 x 135 mmTourgueniev remercie Zola de lui avoir écrit à l'occasion de la mo...
Que penser de toutes ces commémorations qui, en ces derniers temps, se sont succédé à un rythme sout...
Le 14 juillet 1847, Flaubert écrit à Louise Colet : « Je t’envoie, ma chère amie, une fleur que j’ai...
Manuscrit autographe« Mon fils est mort cette nuit, Monsieur ; j’en suis, je vous l’avoue, extr...
Associer la mémoire de Gustave Flaubert, en ces journées consacrées au centenaire de la mort du roma...
Le centenaire de Gustave Flaubert, que nous célébrons cette semaine, nous invite à étudier de nouvea...
Au terme de ses Souvenirs littéraires (ils allaient paraître en volume quelques mois plus tard chez ...
Dénuement ! dénuement !… Nous implorons qu’en vue de mer il nous soit fait promesse d’œuvres nouvell...
Manuscrit autographe sur papier mauveS'il paraît dans Les Contemplations en 1856, avec la date ...
Le long périple que fut la vie d’Henri Queffélec a commencé dans cette ville de Brest en 1910. Après...
« Puisque la mort est inévitable, oublions-là ! ». Stendhal était loin d’imaginer à quel point ce tr...
Toute la poétique de Gustave Flaubert est parcourue, on le sait bien, par un rêve d’écriture musical...
Le 7 juin 1844, Flaubert écrit à Louis de Cormenin : « J’ai lu Candide vingt fois, je l’ai traduit e...
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