Le Requiem de l’avare, par le même

Ma bourse bien-aimée, adieu ! Plus jamais la vueDe marcs d’or ne trouveront mes yeux contents,Jamais plus le noble d’argent, brillant de son éclat,N’emplira ma main de son poids pour dire sa valeur ;Jamais plus, jamais plus, hélas ! ne vous appellerai miens :Où devez-vous, ah ! où dois-je aller ?Je ne sais non plus ; oh, noble argent en pièces,Me séparer de vous me causera grand malheur ;Il me faut partir ; mais où, je n’ose dire ;Ô mort de mon âme ! Je pars en enfer. Dès que le rouge soleil ..