La phonologie et la grammaire du F. H. sont constamment soumises à deux forces : l’une qui tend à le maintenir dans l’état où il est transmis par l’enseignement, l’autre qui le pousse vers les innovations. La première, la tradition grammaticale et le livre en général, agit plutôt sur le parler des couches les plus cultivées ; la seconde, le créole, exerce de préférence son influence sur le langage des gens de moyenne culture qui, eux aussi d’ailleurs, ont reçu pendant une dizaine d’années, l’..